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Reiyelle - 1087283 Publié le 05/04/2009 à 10:50  Toujours dans le même esprit, fil créé pour recueillir, textes, réflexions personnelles ou non, chansons, poèmes, débats, témoignages cette fois-ci sur le thème "le suicide" afin de finaliser la deuxième revue de l'année. Iroico mon corédacteur attitré, au boulot !!! Je suis tellement débordée que je n'ai même pas le temps de te verser tes primes d'assuidité mais ce nouveau fil, va être je l'espère, l'occasion de reprendre le fil de nos échanges maintenant que je traverse, pour un temps certainement limité, une période relative de "calme" | 2422872 Publié le 05/04/2009 à 10:52  reiyelle | iroico - 1205674 Publié le 05/04/2009 à 14:08  bein! pour le coup ,c'était la prime chômage qui m'est passée sous le nez!!!ravi que la patronne n'ai pas déserté les lieux pour aller sous des législations plus avantageuses faire bosser à moindre coup de pauvres malheureux pire que moi! à bien réfléchir comme salaire moindre que le mien,il doit pas y avoir foule quand meme ,je peux donc arborer ma fierté sudiste et prétendre à devenir un incontournable bosseur pour pas un rond! heu! bonjour Joelle alors,on pense à mal,je vois!!!...autant plaisanter et rendre le sujet léger le temps de me remettre dans le bain!..je réfléchis | iroico - 1205674 Publié le 07/04/2009 à 07:37  préambule http://www.barbery.net/psy/suicide/lisezceci.htm | iroico - 1205674 Publié le 07/04/2009 à 07:47  Statistiques Source : http://www.sante.gouv.fr Le suicide est la deuxième cause de décès des adolescents. En 1995, il représente 11 % des décès de 15 à 19 ans et 17 % pour les 20-24 ans. Cette proportion est beaucoup plus importante que la part des suicides dans la mortalité de l'ensemble de la population tous âges confondus (2 %). Le taux de mortalité par suicide est pour les 15-24 ans de 10/100 000. Il est plus élevé chez les garçons (15,2) que chez les filles (4,6) et augmente avec l'âge. Chez les adultes de plus de 25 ans ce taux atteint 40/100000, le suicide devient la première cause de mortalité des 25-34 ans Entre 1980 et 1995, le taux de suicide des adolescents est resté relativement stable, aux environs de 10/100 000, avec une tendance décroissante, en dehors de 1993. Les modes de suicide utilisés par les adolescents sont souvent violents : la pendaison et l'usage d'armes à feu sont les plus fréquents (36 % et 31 %). Ces proportions sont plus représentatives des passages à l'acte des garçons, les filles utilisent la pendaison, les empoisonnements (27 % et 26 %) et les armes à feu dans 15 % des cas. Le rapport tentative de suicide sur suicide chez les adolescents serait de 22 pour les garçons et de 160 pour les filles. La surmortalité masculine peut, en partie, s'expliquer par l'utilisation de moyens plus violents. Une étude des certificats de décès permet d'évoquer l'existence de symptômes précédant le suicide. Dans un tiers des cas on retrouve un état pathologique (contre la moitié pour les autres âges). Il s'agit dans 70 % des cas d'états dépressifs, dans 15 % de psychoses, pour 9 % d'autres troubles mentaux et pour 2 % d'alcoolisme. Bien que ces informations soient parcellaires, elles nous montrent que la dépression ne doit pas être négligée. Le suicide est la deuxième cause de décès des adolescents. Les taux de mortalité sont stables depuis plusieurs années, autour de 10/100 000. Il existe une prédominance masculine et les moyens utilisés sont souvent violents. Dans un tiers des cas des difficultés psychologiques préexistaient. Les tentatives de suicide Les données concernant les tentatives de suicide ne sont pas aisément accessibles, ni complètes. En effet, une enquête en population générale montrait que 59 % des jeunes ayant fait une tentative de suicide n'en avaient parlé à personne. Dans cette même population, 3,7 % des 15-19 ans ont fait une tentative de suicide. Il existe une prépondérance féminine (5,6 % et 2,1 % chez les garçons). Dans 70 % des cas il s'agissait de la première tentative de suicide, dans 20 % de cas de la deuxième et dans 10 % de plus. La récidive est plus fréquente chez les garçons. Parmi les adolescents scolarisés de 11 à 19 ans, 7 % disent avoir fait une tentative de suicide et parmi les jeunes en insertion, le taux est de 15 %. Dans la population évaluée dans l'enquête PJJ, 12 % des garçons et 49 % des filles ont fait une tentative de suicide, et respectivement 3 % et 24 % en ont fait plusieurs. Certains facteurs sont retrouvés de manière plus fréquente parmi ces adolescents, permettant ainsi de supposer l'existence d'un groupe à risque. Parmi les suicidants, il y a plus de jeunes au chômage, ils sont plus fréquemment issus de familles monoparentales ou recomposées, ils sont plus nombreux à avoir redoublé une classe, ils ont plus souvent des conduites addictives (alcool, tabac, cannabis, conduite à risque) et ils sont plus nombreux à avoir subi des violences. Les réponses apportées à ces passages à l'acte sont peu nombreuses. Plus de la moitié des tentatives de suicides passeront, selon les adolescents, inaperçues. Dans 20 à 30 %, le geste suicidaire conduira à une hospitalisation. Chez les jeunes de l'enquête PJJ, le taux d'hospitalisation après une tentative de suicide est de 50 %. 4 à 15 % des adolescents ont fait une tentative de suicide. Pour la moitié d'entre eux, elle passera inaperçue. Seulement un tiers des adolescents suicidants sera hospitalisé. Les idées suicidaires Les idées suicidaires, dont la gravité dépend autant de la chronicité que de l'intentionnalité ont été moins étudiées que les comportements suicidaires. Les obstacles méthodologiques sont nombreux puisque ces pensées ne sont pas toujours divulguées par les adolescents et il n'existe donc pas de mode de recrutement spécifique. Dans la population contactée pour le Baromètre Santé, 10 % ont pensé au suicide dans l'année (7,5 % des garçons et 13,7 % des filles). Parmi les adolescents scolarisés, cette proportion est de 23 % chez les garçons et 35 % chez les filles. Cette différence ne peut s'expliquer uniquement par la différence d'âge des deux populations (15-19 ans et 11-19 ans), mais aussi par la méthodologie utilisée. Dans l'enquête du Baromètre, les réponses possibles étaient oui/non et le questionnaire était posé par téléphone. L'étude des adolescents scolarisés passait par un auto-questionnaire et les réponses possibles étaient plus nuancées (jamais, rarement, assez souvent, très souvent). Pour les adolescents de la PJJ, 18 % des garçons et 53 % des filles ont des idées suicidaires. 1,3 % des adolescents, soit 12 % de ceux ayant eu des idées suicidaires ont fait un projet précis de suicide. Parmi les adolescents ayant fait une tentative de suicide, 57,6 % avaient pensé au suicide dans l'année. Le rapport idées de suicides/tentative de suicide se situe autour de 4. Avec l'augmentation de l'âge, ce rapport augmente chez les garçons et diminue chez les filles. Les adolescents ayant eu des idées suicidaires ont aussi plus de conduites addictives, plus d'expérience de violence (agi ou subi), plus d'accidents et de prise de risque. La qualité de la communication à l'intérieur de la famille est aussi reliée à l'existence d'idées suicidaires. Ainsi les jeunes qui perçoivent une bonne cohérence familiale, qui ont le sentiment d'être objet de l'estime de leurs parents, et qui arrivent à parler avec un membre de leur famille ou même un professeur ont moins d'idées suicidaires. Cause ou conséquence de l'état psychologique de l'adolescent, ces constatations peuvent représenter des points importants dans le dépistage et la prévention des idées suicidaires. 10 à 25 % des jeunes ont des idées suicidaires et la moitié des adolescents suicidants ont eu des idées suicidaires dans l'année précédant leur passage à l'acte.
| iroico - 1205674 Publié le 07/04/2009 à 07:55  souvenir d'une émission de france culture "sur les docks" au sujet du suicide 'caché' tabou chez les personnes agées.. http://www.agevillage.com/actualite-2867-1-suicide-des-personnes-agees-19-fevrier-france-culture.html | iroico - 1205674 Publié le 07/04/2009 à 08:06  le suicide reste souvent un acte isolé...les suicides collectifs restent suspects.....tout comme ceux maquillés comme tels...noyé dans une flaque d'eau ou suicidé par dix balles dans le dos..et d'autres plus litigieux ou souvent le suicidé trempe dans des affaires politico financières..dure loi du milieu | 1520136 Publié le 07/04/2009 à 14:29  Barbara, qui connaissait bien le sujet, a su traité avec légèreté (et talent) un sujet aussi grave en utilisant la circonlocution du sommeil pour parler du suicide.
Citation: Les insomnies ( Barbara 1975 ) A voir tant de gens qui dorment et s'endorment à la nuit, Je finirai, c'est fatal, par pouvoir m'endormir aussi A voir tant d'yeux qui se ferment, couchés dans leur lit, Je finirai par comprendre qu'il faut que je m'endorme aussi J'en ai connu des grands, des beaux, des bien bâtis, des gentils Qui venaient pour me bercer et combattre mes insomnies Mais au matin, je les retrouvais, endormis dans mon lit Pendant que je veillais seule, en combattant mes insomnies A force de compter les moutons qui sautent dans mon lit, J'ai un immense troupeau qui se promène dans mes nuits Qu'ils aillent brouter ailleurs, par exemple, dans vos prairies Labourage et pâturage ne sont pas mes travaux de nuit Sans compter les absents qui me reviennent dans mes nuits, J'ai quelquefois des vivants qui me donnent des insomnies Et je gravis mon calvaire sur les escaliers de la nuit J'ai déjà connu l'enfer, connaîtrai-je le paradis ? Le paradis, ce serait, pour moi, de m'endormir la nuit Mais je rêve que je rêve qu'on a tué mes insomnies Et que pâles, en robe blanche, on les a couchées dans un lit A tant rêver que j'en rêve, les revoilà, mes insomnies Je rôde comme les chats, je glisse comme les souris Et Dieu, lui-même ne sait pas ce que je peux faire de mes nuits Mourir ou s'endormir, ce n'est pas du tout la même chose Pourtant, c'est pareillement se coucher les paupières closes Une longue nuit, où je les avais tous deux confondus, Peu s'en fallut, au matin, que je ne me réveille plus Mais au ciel de mon lit, y avait les pompiers de Paris Au pied de mon lit, les adjudants de la gendarmerie Ô Messieurs dites-moi, ce que vous faites là, je vous prie Madame, nous sommes là pour veiller sur vos insomnies En un cortège chagrin viennent mes parents, mes amis Gravement, au nom du Père, du Fils et puis du Saint-Esprit Si après l'heure, c'est plus l'heure, avant, ce ne l'est pas non plus Ce n'est pas l'heure en tout cas, mais grand merci d'être venus Je les vois déjà rire de leurs fines plaisanteries, Ceux qui prétendent connaître un remède à mes insomnies Un médecin pour mes nuits, j'y avais pensé, moi aussi C'est contre lui que je couche mes plus belles insomnies A voir tant de gens qui dorment et s'endorment à la nuit, J'aurais fini, c'est fatal, par pouvoir m'endormir aussi Mais si s'endormir c'est mourir, ah laissez-moi mes insomnies J'aime mieux vivre en enfer que dormir en paradis Si s'endormir c'est mourir, ah laissez-moi mes insomnies J'aime mieux vivre en enfer que de mourir en paradis...
Elle a aussi traité le sujet de manière plus grave (mais avec une note d'espoir quand même).
Citation: Le mal de vivre (Barbara 1965) Ça ne prévient pas quand ça arrive Ça vient de loin Ça c'est promené de rive en rive La gueule en coin Et puis un matin, au réveil C'est presque rien Mais c'est là, ça vous ensommeille Au creux des reins Le mal de vivre Le mal de vivre Qu'il faut bien vivre Vaille que vivre On peut le mettre en bandoulière Ou comme un bijou à la main Comme une fleur en boutonnière Ou juste à la pointe du sein C'est pas forcément la misère C'est pas Valmy, c'est pas Verdun Mais c'est des larmes aux paupières Au jour qui meurt, au jour qui vient Le mal de vivre Le mal de vivre Qu'il faut bien vivre Vaille que vivre Qu'on soit de Rome ou d'Amérique Qu'on soit de Londres ou de Pékin Qu'on soit d'Egypte ou bien d'Afrique Ou de la porte Saint-Martin On fait tous la même prière On fait tous le même chemin Qu'il est long lorsqu'il faut le faire Avec son mal au creux des reins Ils ont beau vouloir nous comprendre Ceux qui nous viennent les mains nues Nous ne voulons plus les entendre On ne peut pas, on n'en peut plus Et tous seuls dans le silence D'une nuit qui n'en finit plus Voilà que soudain on y pense A ceux qui n'en sont pas revenus Du mal de vivre Leur mal de vivre Qu'ils devaient vivre Vaille que vivre Et sans prévenir, ça arrive Ça vient de loin Ça c'est promené de rive en rive Le rire en coin Et puis un matin, au réveil C'est presque rien Mais c'est là, ça vous émerveille Au creux des reins La joie de vivre La joie de vivre Oh, viens la vivre Ta joie de vivre
| 1730361 Publié le 07/04/2009 à 14:43  Souffle en l'air Tu as préféré le camping-gaz Aux somnifères Et dans ce parfum dégueulasse Tu as pris la mer Une drôle de mer, une drôle de mer On t'a pas vu l' lundi matin On n'a rien dit Mais le silence parlait au fond, Au fond de nos vies Tu as raté l' train, tu as raté l' train Je m' rappelle, je m' rappelle Je m' rappelle, rappelle On t'a trouvé l' mardi matin Le souffle en l'air Tu avais choisi de te tirer Sans mots amers Sans mots amers, sans mots amers Depuis, tu flottes dans ma mémoire Pas toujours claire As-tu fini ta traversée en solitaire ? En solitaire, drôle de désert ! Je m' rappelle, je m' rappelle Je m' rappelle, rappelle Tu as préféré le camping-gaz Aux somnifères Et dans ce parfum dégueulasse Tu as pris la mer Une drôle de mer, une drôle de mer Isabelle Mayereau
| 1730361 Publié le 07/04/2009 à 14:46  Le Monde Entier Le monde entier ne saura jamais à quel point j'étais triste, à quel point tu t'es trompée. Le monde entier n'a même pas vu qu'on t'avait retrouvée pendue, à tes pieds deux trois dessins et des lettres à tes copains. Mais moi j'étais trop loin, j'étais même pas là pour te tendre la main. Le monde entier n'a pas chialé, le monde entier n'est pas là pour ça, le monde entier ne t'en a pas voulu autant que moi. Si tu m'avais demandé, moi j't'aurais dit que dans la vie, ce qui compte c'est pas l'issue mais c'est le combat... qu'il faut rendre ce que tu reçois, les mauvais coups comme les plus bas, et que rien que la beauté du geste te donne raison sur ce que tu détestes. Mais pour ça j'étais trop loin, j'étais même pas là pour te tendre la main. Allez!... Moi j'avais pour toi des rêves pleins d'entrain qui finissaient pas au cimetière d'Pantin même si moi aussi j'ai une folle envie de dire "Va te faire foutre la vie!". Mais tu vois il me reste encore une bonne droite et j'l'ai pas encore collée dans la gueule du monde entier. Le monde entier ne saura jamais à quel point j'étais triste, à quel point tu t'es trompée. Le monde entier n'a même pas vu qu'on t'avait retrouvée pendue, à tes pieds deux trois dessins et des lettres à tes copains. Mano Solo | 2364767 Publié le 07/04/2009 à 15:15  LE SUICIDE Le suicide, c'est pas quelque chose à prendre à la légére. Et encore moins, à juger. C'est le seul recours pour certains, qui sont dans un état de grande tristesse, de solitude, de détresse et d'imcompréhension, et qui sentent que tout le monde se fou carrément d'eux, ils se sentent comme invisible, alors ils se disent que même en mourant, personne ne les remarquera. C'est vraiment un phénomène grave, que beaucoup ne perçoivent pas, car en général , ceux qui se suicident, ne sont pas ceux qui te disent " Si tu fais ça, je me suicide ". Non, ceux qui se suicident, sont ceux qui accumulent tout à l' intérieur , sans rien montrer , jusqu'à explosion. La meilleure amie de ma cousine , s'est suicidée en Avril de 2007 pour un garçon , et je peux te dire que personne ne savait qu'elle était en arrivée à cet état là. Ceci dit, certains se suicident pour n'importe quoi, et je crois que le pire, ce sont les personnes qui utilisent le suicide comme menace pour mettre pression sur quelqu'un. Ca c'est vraiment horrible, car c'est vraimentse foutre de la poire des gens qui sont vraiment n détresse. Du genre " Si tu fais pas ça, je me tue ". C'est bon. Printemps Suicide 7/155 25/03/2009 à 21:31 J'ai perdu pour ma part un de mes meilleurs amis, pas dépressif , qui ne se plaignait jamais sur rien, et en juillet 2007 il a mis fin à ses jours en se pendant alors qu'il venait de diner avec des amis proches. Je n'arrête pas d'y penser.... Pourquoi | 595300 Publié le 07/04/2009 à 17:41  EXIT | 1864225 Publié le 13/04/2009 à 11:10  Le suicide, particulièrement celui des ados est de plus en plus important en nombre, comme l'ensemble des suicides d'ailleurs. La dureté des relations professionnelles, corrélée avec la difficulté croissante des relations affectives, porte aux limites la résistance de chacun. Nous sommes dans une société qui n'ose plus dire "nous", et qui ment en affirment "soyez l'acteur de votre propre vie". Car nous sommes tout le temps confronté à un double-bind, une double contrainte. Double contrainte qui exige de nous "Sois libre", "Sois ton propre héros". Comme être libre quand on l'exige de vous ?... Et comment être libre, si on vous oblige à travailler d'une façon, si on vous matraque le loisir, la distraction à la mode, le livre à lire, le shampooing à utiliser, l'option politique top du moment, etc ?.. Au fond de nous, quelque chose perçoit ces manipulations fondamentales, et cet ordre pervers que nous donnent les puissants, de nous investir dans la liberté, alors que par définition celle-ci ne peut qu'être un libre choix. Alors, certains décident d'en finir avec ce décor truqué. Et si tu gardes cet homme en mémoire, c'est peut-être parce que tu peux mesurer tout ce qu'il a dû encaisser avant que sa psyché, sa vie toute entière, bien solides apparemment, ne craquent.
| Reiyelle - 1087283 Publié le 24/04/2009 à 11:06  coucou la foule, oups..finalement je suis toujours aussi zébulone, quand j'ai fini un monticule de trucs à faire, c'est bizarre, mais un autre surgit immédiatement à côté...enfin dans quinze jours, une pte virée en Andalousie m'attend je vous ramènerai des photos...bizzzzzzzzzzzz à tous. | 2492758 Publié le 24/04/2009 à 11:07  Reiyelle | Reiyelle - 1087283 Publié le 24/04/2009 à 11:10  coucou fleur bleue, j'espère que tu te portes comme un charme |
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