la voix de césaria evora s'égrène, au fil d'un matinée où je me traine, perclus de douleur et de pensée vaines. tu me manques... tout est pénible et passer l'aspirateur, ranger, mettre de l'ordre dans mon intérieur, je ne puis, recroquevillé sur mes douleurs. tu me manques… j'atterris...en mauvais pilote c'est le crash avant je gommais mon mal, tout à mes tâches.. mais jamais tu ne reviendras... fin du match tu me manques… on ne revient pas de cet obscur, tout là bas. c'est fini pour cette vie, en croyant ou pas, sauf cet attachement mystérieux à toi… tu me manques... |